La chiromancie provient de deux mots grecs, keir » qui signifie la main et « manteia » que l’on traduit par divination. C’est donc la divination par la main.
On a retrouvé les traces des cet art divinatoire en Chine et en Inde dès le IIIe siècle av. JC.
Les pays dans lesquels cette science a commencé à faire l’objet d’études sérieuses semble être la Grèce et la Macédoine.
Dès 320 avant JC, Aristote laissa des écrits sur un art divinatoire qui permettait de décrypter un avenir inscrit dans la paume de la main.
Les gitans et les tziganes ont certainement aussi largement contribué à faire connaître cette science divinatoire dans toute l’Europe par l’intermédiaire des diseuses de bonne aventure.
Les premiers textes traitant de la chiromancie n’apparurent qu’en 1475, et furent publiés par Johan Hortlich.
Au Moyen Age, malgré l’opposition de l’église, la chiromancie fut utilisée, entre autre, pour identifier les sorcières, car on croyait qu’elles portaient certaines marques dans leurs mains, caractéristiques des partisanes du diable.
Il y a 5 lignes principales :
Il y a aussi 6 lignes secondaires :
– La ligne de Mercure, du mont de Mercure au mont de Vénus: la ligne de santé et d’intuition
– La ligne d’Apollon, sous le mont de Mercure: la réussite financière et artistique
– La ligne de Saturne: la ligne du destin
– La ceinture de Vénus, en prolongement de la ligne de coeur: les réactions émotionnelles
– Les recettes de Vénus: ce sont 3 lignes autour du poignet